C’est à travers la “voix off” de cette pièce, qui trouve un arrimage parfait entre les gammes pharaoniques et les rythmiques IDM telles que The Black Dog et Boards of Canada, que Koko pousse la réflexion à un autre niveau. On ne parle plus ici seulement de la cause qui la touche si profondément, mais du voyage entre l’air et l’espace qui peut également être un combat entre la tête et le coeur.
“C’est les yeux fermés que je vois plus clair
De lune et d’étoiles, de mer et de voiles
Entre toi et noir, entre l’air et l’espace,
je me perds de vue, émue de savoir
Que jamais plus je n’aurai peur des au revoir”